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samedi 27 septembre 2014

L'Éducation Nationale (ou La dictature d'un mode de pensée unique)

Traduction en substance : "Pour une sélection équitable
tout le monde doit passer le même examen : Veuillez grimper dans cet arbre."


L'éducation nationale ne m'a jamais convenue, et ce même si j'étais tout à fait capable de réussir. J'ai arraché mon bac mention "assez bien" avec 16 en Maths, 17 en Physique et 15 à l'écrit de Français. Pour les autres matières j'ai été pénalisé par les critères de notation : note aux mots-clés en SVT, notes aux dates et chiffres en Histoire-Géo, notes aux références en Philo, et la pire pour moi : la note du 3x500m était attribué en fonction du temps de course et en fonction de notre "régularité", c'est à dire qu'avant de courir on annonce le temps qu'on va mettre et on doit le respecter à un pouillème près ; le problème c'est que j'avais fumé avant toutes les séances d’entraînement mais que j'avais décidé de ne pas fumer avant l'examen : résultat j'ai explosé mon temps de parcours et ai eu une note de merde. Vous me direz qu'il y a trois sports au bac : oui il y avait aussi le foot : je suis assez bon défenseur mais assez mauvais attaquant, et comme j'étais avec des jeunes qui jouaient en club en temps qu'attaquants je leur laissais cette fonction ; mais la notation prenait en compte nos aptitudes comme si nous étions seul dans l'équipe (prise de balle, conservation de la balle, dribble, passe, tir...). Il y avait aussi le badminton : la notation ne prenait pas en compte notre façon de jouer, juste notre classement (à la fin de chaque match on allait annoncer les résultats et on montait ou descendait de terrain). Je n'aime pas la compétition, j'aime jouer, et si je suis plus fort que mon "adversaire" je vais essayer de lui apprendre ce que je sais plutôt que de l'écraser. Je me rappel que durant deux années on avait pratiqué le "tennis de table" (ping-pong pour ceux qui ne cherchent pas a en avoir une plus longue) et je suis bon en ping-pong (j'avais une table à la maison et y jouait assez régulièrement avec ma famille), pourtant j'étais toujours aux trois dernières tables (comprenez les tables des nuls) dans le seul but de leur apprendre l'art de manier la raquette en bois. Durant ces deux années j'ai d'ailleurs fait des matchs mémorables avec les teneurs en titre de la table numero uno (javais développer un service utra-rapide au ras du filet finissant en bout de table, et des effets sur balles rapides) un de ceux-ci a même mis fin rageusement à un match pour retourner à sa sacrosainte première table.

Bon, après tout ce baratin sur ma pomme, venons-en au vif du sujet : l'éducation nationale qui ne prends en compte qu'une seul façon de penser

Saint Jude (ou Mes plus belles années ont fini dans le sang)

J'ai foutu pas mal de bordel dans cet établissement(1), qui de l'intérieur comme vu du ciel (j'ai eu l'occasion de le survoler durant un cours de pilotage de mon père) ressemble à une prison avec ses murs-bâtiments, ses trois cours intérieures qui communiques via des arches sous les bâtiments séparant ses différentes cours, et ses grilles monumentales (3m de haut pour l'entrée principale du lycée). J'y ai passé la majeur partie de ma scolarité (du CM1 à la 1ère) et de mon temps extra-scolaire (j'étais collé presque tout les mercredis et quelques samedis).

Cet établissement étant gigantesque, il y avait plusieurs CPE répartis en fonction des classes et lieux d'enseignement. En 4ème et 5ème j'ai eu un CPE formidable : Mr Steculorum. Cet homme avait (et a toujours je pense ^^) une autorité naturelle exceptionnelle (tant physique - un corps d’armoire à glace ça impressionne, surtout quand on est un gamin de 13 ans ^^ - que morale) car elle se basait sur le respect : le respect du règlement, des profs, des élèves en général, et de l'élève qui se trouvait dans son bureau.

Quand je suis arrivé en 3ème Mr Steculorum est devenu CPE des 3èmes (changement de la répartition des collégiens, quand j'étais en 6ème, nous étions dans une annexe avec les 3èmes).

En seconde j'ai eu Legrand : le parfait stéréotype du sergent instructeur à la "full metal jacket"

jeudi 25 septembre 2014

Le véganisme, pourquoi ? (ou pourquoi pas ?)

Histoire d'éviter les trolls et autres rageux... Je ne suis pas végan (pour des raisons qui me sont propres et ne regardent que moi).

Cet article n'a pas la prétention de vous convertir au véganisme, ni même de vous l'interdire. C'est juste les élucubrations d'un mec qui a réfléchi à la question et qui veut partager ses réflexions (et continuer à y réfléchir).


Tout d'abord le véganisme c'est quoi ?


C'est un régime alimentaire (quelles qu’en soit les raisons) qui consiste à ne se nourrir d'aucun produit animal (et sous-produits tels que le lait et les œufs), associé à un mode de vie écologique et responsable .

Bien que les végétariens (qui consomment des sous-produits animal) soient plus ou moins bien acceptés par la société (car on ne peut pas leur opposer d'arguments "recevables" tels que "on a besoin de protéines pour survivre"), les végans sont plus ou moins vu comme des hurluberlus qui mettent leur vie en danger, et pire, mettent la vie des autres en danger en voulant répandre et faire reconnaître ce régime alimentaire comme sain.


Rappels sur les régimes alimentaires

Les "argument" biologico-scientifiques étant légions dans ce "débat", rappelons quelques faits.
Dans la nature il y a trois grands ensembles de régimes alimentaires : les herbivores (mangeant les végétaux et/ou leurs produits), les carnivores (mangeant d'autres animaux et/ou leurs produits) et les omnivores (capables de manger de tout).
Les animaux (dont l'être humain fait partie) ont évolué (en partie) en fonction de ce qu'il y avait à manger, donc effectivement l'herbivore n'est pas fait pour manger de la viande et le carnivore pour manger des légumes. Mais les omnivores peuvent manger de tout (bon en contrepartie on assimile moins bien que les espèces ayant un régime "strict").

!! Le fait d'être omnivore ne nous oblige pas à manger de la viande !!